Alexz venait de quitté Heaven pour un moment. D'habitude inséparable, là, elles avaient prit un petit moment de solitude chacune. Sans arrêt elles faisaient des conneires toutes les deux, et elles s'amusaient bien à faire poireauté les gardes ou à se faire coursé. Toutes deux étaient à présent de véritable amies, inséparable presque. Et Alexz savait que de toute façon, Heaven était la seule personne en qui elle pouvait entièrement faire confiance. Il n'y avait qu'elle qui connaissait ses problèmes, son passé. Mais aujourd'hui, c'était une belle journée, dans la matinée, le bruit avait courrut que dans l'aprem une nouvelle allait venir. Enfin, une nouvelle, on ne savait jamais le sexe de la personne. Et c'est sans y réffléchir vraiment qu'Alexz s'embarqua dans le Hall, décontractée, simple. Elle était habillée d'un top blanc rayé noir à la verticale et d'une grosse ceinture de cuir sur le ventre. Sur ses épaules également une veste en cuir et des bracelets à pointes et des bracelets brésilien, morceau de tissu, censé porter chance. Elle avait également un jean, simple, délavé et des bottes en cuir avec également des pointes en acier sur les côtés. Bref, elle ne trahissait pas sa personnalité par ses vêtements. Et lorsqu'elle vit la camionette arrivé, la même qui l'avait transporté il y a quelque temps déjà, était garé devant le portail, elle fixa de ses deux grands yeux bleux les gardes qui en descendaient et vit LA nouvelle descendre. Elle n'avait pas l'air hyper contente, normal d'ailleurs. Lorsqu'on entrée là-dedans, on en ressortait jamais, c'était une prison pour la vie. Et bien qu'aucune des deux ne se ressemblent en quoi que ce soit, Alexz la regarda encore, impassible et s'avança vers la jeune fille. Mais lorsqu'elle fut à seulement quelques mètres d'elle, les gardes scandairent :
Garde 1 : Toi, dégage de là, recule, recule !
Alexz le regarda en levant les sourcils, continua à s'approchée, indifférente, et dit aux gardes avec un air de s'en foutre complètement :
"Mais ferme ta gueule, j'en est rien à battre de tes ordres de merde et tu l'sais très bien."
Le garde la regarda, en colère et, en voyant qu'on poussait la nouvelle pour la faire avancée, elle dit avec mérpis, ses mains dans sa poche de cuir et l'air toujours assi indifférent :
"T'inquiéte pas, c'est tous des cons, tu t'y feras, y-a que les pensionnaires qui ont un minimum de mentalité. Moi c'était pareil al première fois, de vrais plaies ces gardes j'te jure. Surtout lui là."
Elle montra celui qui tenait le bras gauche de la jeune fille et elle lui demanda avec insolance :
"Comment ca va Jocelyn, la tite' famille ?"
Et Jocelyn lâcha les bras de Lara pour commencer à s'avancé vers Alexz en l'attrapant par le col de son Tee-shirt et lui dit avec un visage violacé et en poustillonant sur le doux visage de la jeune femme, durcit par un passé plus que douloureux :
Garde 1 [Jocelyn] : Tu vas te calmé espèce d'impertinante, ou sinon, ca va chauffé.
Un grand rire dur rettentit. C'était Alexz. Elle donna un coup de pied à Jocelyn et celui-ci la lâcha et elle lui donna un coup de poing en plein visage en parlant en même temps à la nouvelle :
"Ho fait, moi c'est Kennedy. Et comme tu peux voir je m'entends super bien avec les gardes."
Jocelyn posa une main sur sa joue et attrapa Alexz par les cheveux en la tirant vers l'arrière et en mettant sa matraque sur sa gorge :
Jocelyn : Espèce de petite pétasse.
Puis un autre garde, Simon, intervint et dit à Jocelyn :
Garde 2 : C'est bon Jo, lâche là, on sait tous que c'est une petite pétasse, elle aura un autre rapport.
Jocelyn la lâcha et elle se redressa en murmurant un très léger :
"Connard."